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CHAPITRE HISTORIQUE
Pendant plus de 20 ans l'hôpital militaire resta provisoirement installé dans les baraques primitives qui constituèrent, à l'origine, « l'ambulance de Djemaa-Ghazaouat »
Ce ne fut qu'en 1868, alors que ces baraques étaient à moitié vermoulues et inhabitables, comme le constataient' régulièrement tous les rapports d'inspection, que le Génie se décida enfin à les remplacer par des pavillons en maçonnerie.
Ce travail dura plusieurs années et les bâtiments construits, rue de Touent, sur l'emplacement des premières baraques, ne furent terminés qu'en 1872. Le terrain plat sur lequel ils s'élèvent, à l'ouest de la ville, formait •avant notre arrivée une partie de la plage et les jardins.
Topographie générale. - Avant sa transformation en infirmerie• hôpital, il se composait de 7 pavillons ou bâtiments principaux à simple rez-de-chaussée.
Trois de ces pavillons étaient spécialement affectés aux malades militaires et aux femmes. Ils étaient et sont encore surélevés d'environ1 mètre au-dessus du sol et entourés d'un chemin de ronde avec garde-fou en bois d'abord, puis en fer forgé, depuis 1904. On pénètre de plain-pied dans les autres pavillons.
La superficie totale des bâtiments et jardins, y compris le logement du médecin-chef, est d'environ6.000 m2. Les bâtiments occupent, à eux seuls, une superficie de2.000 m2, c'est-à-dire le tiers de l'aire circonscrite par le mur d'enceinte. Les deux tiers restants, soit4.000 m², se composent de cours et de jardins.
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Soldat hospitalisé à l'hôpital de Nemours ( Ghazaouet )
Algérie (officiellement République Algérienne Démocratique et Populaire)
Mes cher(es) Dames et Messieurs ;
En répondant à votre invitation, j'ai aussi et surtout répondu à l'appel du cœur et de la raison. Ce moment historique qui symbolise le magnifique couronnement de la lutte menée par le peuple Algérien pour notre liberté, notre souveraineté et surtout notre dignité.
Cette initiative vise à mobiliser nos bonnes volontés et rendre un hommage mérité aux hommes et aux femmes qui ont sacrifiés leurs vies pour que nous vivions libres. J'ai conscience que, malgré tous nos efforts, nous avons encore du chemin à faire pour mieux satisfaire les besoins à nos jeunes, aux malades, aux handicapes et les familles démunies.
Cela nous permettra ensemble de lancer rapidement de nouvelles initiatives, en particulier pour les jeunes diplômés, les recrutements d'une force ouvrière qualifiée, participé aux programmes du développement et d'encourager la recherche dans tous les secteurs. Dans notre établissement, nous avons fait du chemin mais le travail est immense. Dans le respect de la pluralité de nos opinions, travaillons donc ensemble, sur la base de nos valeurs partagées, à bâtir cet avenir commun et l'Algérie en priorité.
Santé en Algérie (1954-1965)
5 Juillet 1962, l'Algérie indépendante et libre. L'économie du pays est en ruine avec un départ massif des médecins et infirmier(ères ) a complètement bouleverser la situation sanitaire dans les villes , les hôpitaux vides, la crise économique touche profondément les deux villes ( Ghazaouet– Nedroma ) , les maladies épidémiques , un taux de mortalité infantile élevée , les crimes de vengeances et la fermeture des frontières . Près de la moitié de la population vit dans une misère totale, les maladies transmissibles sévissant à l'état endémique d'une ampleur sans égale, responsables d'une importante cause de décès et de handicaps. Cette situation sanitaire était très préoccupante pour les responsables locaux et les hommes politiques des régions.
L'objectif principale est de rattraper le retard accumulé pendant 130 ans de domination coloniale et la position de la santé prend ses priorités malgré un manque en matière de personnels, de gestion, des ressources, des moyens et du personnels technico-Administratifs
Première construction d'une politique de la santé (Santé Publique)
(1970) Malgré le peu des moyens, une nouvelle politique de la santé réanime le secteur de la santé en Algérie en actions, outils, et supports opérationnels qui sont mis en œuvre par le programme du gouvernement.
L'Algérie disposait de moins de 500médecins (dont 50 % d'Algériens) pour couvrir une population de 10,5 millions d'habitants.
la lutte contre les maladies transmissibles qui ont fait ravage dans la population et le développement de l'accès aux soins avec un grand sucée qui est la mobilisation pour le développement de la santé . Les compagnes d'information, la mobilisation des médias et les débats qui sont multipliés pour mettre face. 
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
USB-Beghaoune
Bureau du médecin ( USB-Beghaoune )
USB-Beghaoune
Commune de souahlia ( Polyclinique de Tounane )
Polyclinique de Tounane ( Service Laboratoire )
Service de Laboratoire
Polyclinique de Tounane ( se dispose d'un point de garde 24h/24h )
Commune de Tiente ( Unité de soins de base )
USB- Tiente
USB - Tiente
USB - Tiente ( Cabinet Dentaire )
Polyclinique de NEDROMA
Polyclinique de NEDROMA
Polyclinique de Nedroma
PMI - Polyclique de Nedroma
Polyclinique de Nedroma ( Cabinet Dentaire )
Polyclinique de Nedroma
Polyclinique de Fellaoucène
Projet en cours de réalisation d'une Polyclinique à Féllaoucène
Boutrek II
El Bor
Polyclinique de Ghazaouet , Siège de l'EPSP
Polyclinique de Ghazaouet
Polyclinique de Ghazaouet
Polyclinique de Ghazaouet
Polyclinique de Ghazaouet ( Personnel en préparation pour une intervention médicale auprès des gardes Côtes de la marine de ghazaouet ) . Opération SAR Maritime .
Projet de construction Polyclinique de Ghazaouet à Sidi Amar .
Projet réalisés au niveau de la zone Géo-sanitaire de l'établissement
